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Depuis combien de temps tu fais du JJB ?

 

J'ai commencé le JJB en septembre 2021.

 

Comment as-tu découvert le JJB ? Et le RNK ?

 

J'ai découvert le JJB par le biais du MMA. Mon premier cours de MMA était sur une thématique "sol" et j'ai eu un coup de foudre pour cet aspect de la discipline. J'ai eu envie de travailler sur cet aspect et me suis mise en quête d'un club. J'ai trouvé le RNK par internet et les (très bons) commentaires Google m'ont poussée à faire une séance d'essai.

 

Pourquoi tu fais du JJB ? Qu'est ce que tu aimes dans le JJB ?

 

J'aime le côté cérébral de ce sport. Quand on regarde un randori sans rien connaître, on peut avoir l'impression que c'est un sport de bourrin, alors que chaque mouvement compte et que rien n'est laissé au hasard. J'aime le fait que ce soit un sport exigeant en terme de technique et varié en terme d'apprentissage : entre les passages de garde, les renversements, les clés et les étranglements, ce sport livre une immense palette technique que je trouve passionnante.

 

As-tu fait d'autres arts martiaux ou sports de combat avant ?

 

J'ai fait 9 ans de karaté, puis 2 ans de MMA. Je suis ensuite arrivée au RNK en octobre 2019 où j'ai alterné entre les cours de muay thaï et ceux de luta livre jusqu'au confinement.

 

Comment réagissent les gens quand tu dis que tu fais du JJB ? Le JJB peut-il être pratiqué par des femmes ?

 

Les gens sont très surpris quand ils comprennent que les cours sont mixtes. Alors que le JJB peut très bien être pratiqué par des femmes et entre hommes et femmes. Il faut juste adapter son gabarit et sa force en fonction du partenaire, notamment en randoris.

 

Comment c'est de pratiquer avec des hommes ? Avec des femmes ? Ressens-tu une différence ?

 

Ma pratique du JJB est relativement déconnectée du fait d'être une femme. 

Je pense que cette déconnexion vient du fait que je me sens très bien dans ce club, qu'il y ait déjà pas mal de femmes à chaque cours et que les hommes soient ouverts, sympathiques et bienveillants. L'immense majorité des hommes gèrent plutôt bien leur poids et leur force, en technique ou en randoris.

En définitive, on se sent donc à notre place quel que soit notre genre et quel que soit le stade du cours : arrivée sur le tatami, échauffement, technique, randoris ou salut.

Me concernant, je suis donc autant à l'aise quand je fais la technique et les randoris avec une femme qu'avec un homme.

 

C'est quoi ton meilleur moment au JJB?

 

Quand j'arrive à placer pour la première fois une technique vue en cours pendant les randoris. C'est là qu'on se sent progresser.

 

Quel conseil pourrais-tu donner à une femme qui souhaite commencer le JJB ?

 

De se lancer et de s'accrocher. Même si les premiers cours peuvent paraître durs et impressionnants, la régularité amène rapidement de beaux progrès.

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Gilles Remy